samedi 1 octobre 2016

Violence and survival

10.1038/nature19758

La carte vitale

"La carte Vitale est votre carte d'assuré social. Elle atteste de votre affiliation et de vos droits à l'assurance maladie.
Elle contient tous les renseignements administratifs nécessaires au remboursement de vos soins et à votre prise en charge en cas d'hospitalisation :
  • votre identité et celle de vos ayants droit de moins
    de 16 ans,
  • votre numéro d'immatriculation,
  • le régime d'assurance maladie auquel vous êtes affilié,
  • la caisse d'assurance maladie à laquelle vous êtes rattaché,
  • et, le cas échéant, vos droits à une exonération du ticket modérateur (ALD, maternité, AT/MP...), à la couverture maladie universelle complémentaire (CMUC) ou au tiers payant intégral au titre de l'aide au paiement d'une complémentaire santé (ACS).
La carte Vitale est délivrée à tout bénéficiaire de l'assurance maladie à partir de l'âge de 16 ans, et dès 12 ans sur demande depuis le compte ameli uniquement. Elle est valable partout en France (France métropolitaine et départements d'outre-mer).

La carte Vitale ne contient aucune information d'ordre médical. 
Ce n'est pas une carte de paiement."

La carte vitale.
Qui a-t-il de vital dans la carte vitale de l'assurance maladie française.?
On peut légitimement se poser la question puisque le choix du mot vital pour cette carte n'est certainement pas du au hasard.
Elle aurait plus appeler la carte sécu, la carte assurance maladie, la carte soins, la carte maladie.
La CNAM a choisi vitale mais c'est de l'habillage.
25 ans après il n'en est rien. 
La carte est une carte de tiers paiement et de vérification d'ouverture des droits.
Comme une autre carte bancaire elle permet de savoir si on a de l'argent sur le compte en terme de pouvoir de consommation de biens et services médicaux. Ne croyez surtout pas que votre groupe sanguin est inscrit dedans...


mercredi 28 septembre 2016

Violence de certains patients: le phénomène s'aggrave à cause du laxisme et d'une réponse inappropriée

Sidéré par le titre. Le Fig est au plus mal.
Les hôpitaux français: 
gangrénés par la violence des patients,
victimes de la violence des patients,
sans réponse devant l'accroissement de la violence des patients
la violence de certains patients entrave le fonctionnement des hôpitaux etc

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/09/26/01016-20160926ARTFIG00349-les-hopitaux-francais-malades-de-la-violence.php



Mais le pompom est décerné sans conteste à C Prudhomme:
Christophe Prudhomme est porte-parole de l'Association des médecins urgentistes de France (Amuf). Il travaille au Samu de Bobigny. Pour lui, le problème vient en partie du trop grand nombre de patients arrivant aux urgences, du fait du manque de généralistes: «Comme nos collègues médecins de ville sont débordés, les malades se retrouvent à l'hôpital, aux urgences» . Selon, lui, «il faut former le personnel hospitalier à la gestion de la violence, lui apprendre la médiation, la contention physique, que ce soit pour des patients agressifs ou pour des malades plus psychiatriques. Il existe des techniques pour faire baisser le seuil d'agressivité».

Du politiquement correct bien ciselé du Valls pur jus. Faut vous y faire bande de blancos.

How government policies could harm productivity in the aftermaths of the recession.

https://www.fiscalcommission.gov/sites/fiscalcommission.gov/files/documents/TheMomentofTruth12_1_2010.pdf


http://www.wsj.com/articles/the-reasons-behind-the-obama-non-recovery-1474412963


http://www.aei.org/multimedia/an-army-of-jobless-men/?utm_source=paramount&utm_medium=email&utm_content=AEITHISWEEK&utm_campaign=Weekly092416

"It wasn’t the severity of the Great Recession that caused the weak recovery, but government policies."
Robert J. BARRO
"The main U.S. policy used to counter the Great Recession was increased government transfer payments. Federal social benefits to persons as a ratio to GDP went from 8.7% in 2007 to 11.7% in 2010, then fell to 10.9% in 2015. The main increases applied to Medicaid, Medicare, Social Security (including disability) and food stamps, whereas unemployment insurance first rose then fell. Unfortunately, increased transfer payments do not promote productivity growth."

"The 2007-08 financial crisis was also followed by vast monetary expansion involving increases in the balance sheets of the Federal Reserve and other central banks. The Fed’s expansion featured a dramatic rise in excess reserves, used to fund increased holdings of Treasury bonds and mortgage-backed securities. Remarkably, the strong monetary growth came without inflation."

"The absence of inflation is surprising but may have occurred because weak opportunities for private investment motivated banks and other institutions to hold the Fed’s added obligations despite the negative real interest rates paid. In this scenario, the key factor is the flight to quality stimulated by the heightened perceived risk in private investment."

Doses it look like something we experienced in France? Yes.