A blog for humans in the universe, to understand what we know now and to imagine what we don't know. To bridge the gap between the real world, its image in our brain and the ideas generated by.
samedi 30 avril 2016
vendredi 29 avril 2016
jeudi 28 avril 2016
L'immense échec de la réforme régionale se précise
L'immense échec de la réforme régionale se précise.
Des couts non financés et des impôts en plus.
Quand on lit ce texte on comprend que le planisme est une maladie destructrice. Bien sur il faut laisser faire les entreprises et surtout sortir l'état et ses administrations de toutes les activités qui peuvent être mises sur le marché par des acteurs privés.
Diriger les aides c'est évidemment se tromper plus fréquemment que les entrepreneurs eux mêmes...
Des couts non financés et des impôts en plus.
Quand on lit ce texte on comprend que le planisme est une maladie destructrice. Bien sur il faut laisser faire les entreprises et surtout sortir l'état et ses administrations de toutes les activités qui peuvent être mises sur le marché par des acteurs privés.
Diriger les aides c'est évidemment se tromper plus fréquemment que les entrepreneurs eux mêmes...
Les nouvelles régions doivent très vite utiliser leur puissance.
Par Nicolas Bouzou
Dans notre vieux pays qui a eu la drôle d'idée de canoniser un roi (et donc de canoniser l'Etat central), on méprise les collectivités locales. On les accuse d'être clientélistes et d'avoir la main légère sur les dépenses publiques, comme si l'Etat ou la Sécurité sociale n'étaient pas parés des mêmes défauts. Cet a priori négatif nous empêche de voir qu'il existe un lien positif établi entre le degré de décentralisation d'un pays et ses performances économiques. Bien sûr, il existe des contre-exemples : une Angleterre centralisée et performante (je parle bien de l'Angleterre et pas du Royaume-Uni) ou une Espagne décentralisée et qui a beaucoup souffert. Néanmoins, la règle générale veut que les meilleures politiques publiques soient prises aux échelons locaux, régionaux essentiellement.
C'est bien la raison pour laquelle la mise en place des nouveaux exécutifs des nouvelles régions doit être pensée sous l'angle économique et pas seulement politique. Et ne pas oublier que depuis la loi NOTRe d'août 2015, nos désormais immenses régions n'ont pas plus de moyens financiers, mais elles ont davantage de compétences dans le domaine des politiques économiques. Ce sont désormais elles qui ont en charge les aides aux entreprises, la formation professionnelle, l'apprentissage et le pilotage du service public de l'emploi. Bien sûr, les doublons et les inefficiences qui existent dans ces domaines, notamment liés aux empiétements de l'Etat, ne vont pas disparaître du jour au lendemain. Mais c'est justement pourquoi les grandes régions doivent vite utiliser leur nouvelle puissance et leur autorité, certes fragile, pour s'imposer comme les coordinateurs, voire les ordonnateurs des politiques publiques sur leurs territoires. Trois exemples concrets vont me permettre de me faire comprendre.
La région Ile-de-France doit rapidement prendre à bras-le-corps le dossier des transports ferroviaires, sujet clef pour la mobilité des Franciliens. La forte polarisation spatio-temporelle du trafic en Ile-de-France constitue le principal facteur de surcoût pour SNCF-Transilien qui, du coup, ne dispose plus des moyens suffisants pour améliorer des installations existantes à bout de souffle. Cette polarisation tient notamment à une déconnexion des politiques de transport (relevant du STIF, lui-même dirigé par la région) d'avec les autres politiques en matière d'aménagement (notamment le logement qui relève des municipalités). La région doit être capable d'animer cette coordination pour permettre à SNCF Transilien de contribuer encore davantage au développement économique.
La région Paca, déjà avancée dans le domaine du développement durable notamment grâce à Nice Grid, ou la région Grand Est peuvent devenir parmi les territoires européens les plus en pointe dans l'économie circulaire en dirigeant les aides aux entreprises vers la réalisation de coopérations intersectorielles (et non plus seulement sectorielles). Comme le propose Ecofolio, qui gère en France le recyclage du papier, de telles coopérations pourraient être encouragées entre le bois, le papier et la chimie, trois secteurs qui sont au coeur de la révolution technologique de la papeterie qui connaît de graves problèmes de compétitivité.
Enfin la grande région Aquitaine- Limousin-Poitou-Charentes pourra mette en oeuvre une proposition d'Alain Rousset : créer la grande école européenne des NBIC (nanotechnologies, biotechnologies, sciences de l'information et sciences cognitives), domaine révolutionnaire confisqué par les Etats-Unis et l'Asie, alors même que l'Europe a bien des arguments à faire valoir dans ces secteurs.
Cette réforme territoriale est loin d'être parfaite. Simplement, elle constitue une occasion de montrer à nos concitoyens que l'action politique peut être efficace et tournée vers l'avenir."
mercredi 27 avril 2016
mardi 26 avril 2016
Even Tchernobyl didn't increase thyroid cancers in France but other explanations for increasing prevalence can be found
6 µSv: Typical radiation from a dentist's X-ray
10 μSv: Average daily natural radiation
40 μSv: Radiation from flying from New York to Los Angeles
100 µSv: Radiation from a 10-hour flight across the North Atlantic
2,100 µSv: Annual radiation of a typical person in Europe
3,000 μSv: Radiation from a mammogram
3,600 μSv: Average annual radiation of a US citizen
50,000 μSv: Maximum allowable yearly occupational dose in the US
100,000 μSv: Lowest yearly dose linked to increased risk of cancer
2,000,000 μSv: Severe and potentially fatal
Read more: http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-3039806/How-radiation-exposed-fly-App-tracks-personal-dose-cosmic-radiation-air-travel.html#ixzz46uy1loRF
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http://www.lepoint.fr/editos-du-point/anne-jeanblanc/cancer-de-la-thyroide-bien-peu-d-effet-tchernobyl-en-france-26-04-2016-2034937_57.php#xtor=CS2-238
http://www.xrayrisk.com/index.php
http://www.invs.sante.fr/beh/2016/11-12/pdf/2016_11-12.pdf
The main fact is that those results are not from prospective studies and uncertainty is high as french cancer registers concern only 20% of the population despite the fact that we have a single payer. Last but not least BEH is not truly a peer reviewed paper.
Few papers are dealing with this issue in the literature:
http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/ijc.22037/epdf
http://www.sciencedirect.com/science/journal/09366555/23/4
And those who want to understand the communist rhetoric about radiation exposure should read that:
http://ac.els-cdn.com/S093665551100536X/1-s2.0-S093665551100536X-main.pdf?_tid=3d7452b4-0b8b-11e6-a6b9-00000aacb361&acdnat=1461660514_c1742164f5403429da778778e815ff6a
And eventually human effects of radiation is probably not as we previously think about:
http://www.spiegel.de/international/world/chernobyl-hints-radiation-may-be-less-dangerous-than-thought-a-1088744-2.html
dimanche 24 avril 2016
Even a smart tax should be part of a low taxation burden
http://www.wsj.com/articles/should-the-u-s-adopt-a-value-added-tax-1456715703 |
In France taxation is too high and it is the main cause of low demand and further to deflation. In this setting it does not matter whether it is VAT or other taxes. French people haven't any cash in their pouches to buy stuff. That's all.
As a matter of facts when we compare GDP/hab ($) between France and Denmark; we get that from 96-00 to 2011-2015:
Denmark France 61,304.1 43,807.5 57,636.1 40,850.4 59,818.6 42,627.7 60,718.4 42,725.7 |
Look at the trend to understand why demand is crashed by taxes:
"Europe’s experience
Take Europe, where the VAT is a major source of government revenue. When Belgium, France, Germany, Ireland, Italy and the Netherlands adopted a VAT—all between 1968 and 1971—their stated revenue goal was neutrality: Gains in revenue from the VAT were to be fully offset by reduced taxes elsewhere. (France already had a VAT but needed to revise it to meet European Economic Community Standards.) All failed. Government revenues—and spending—rose substantially as a percentage of GDP. In 1967 in France, the year before that country adopted its EEC-compliant VAT, total government revenues were 33.4% of GDP. In 1968, France adopted a VAT rate of 13.6%. By 2014, its VAT rate was 20% and government revenues were a whopping 45.2% of GDP. When Britain adopted a VAT, the government’s stated goal was to reduce revenue. That failed, too. Only one country, Denmark, adopted a VAT to increase revenues. It succeeded."