Ashkenazi Jews

http://www.latimes.com/science/sciencenow/la-sci-sn-ashkenazi-jews-dna-diseases-20140909-story.html


There is little doubt about the origin of Jews and Jews diaspora. 
NATURE REVIEWS | GENETICS VOLUME 2 | NOVEMBER 2001 | 891

vendredi 11 mars 2016

Précisions sur l'agriculture française

Mais enfin quand comprendra-t- on que de notre agriculture n'est pas moins compétitive que les autres dans le process de production de valeur?
Ce qui plombe notre pays et la compétitivité de tout entreprise qu'elle soit agricole de service ou industrielle c'est bien évidemment la pression fiscale et en particulier les prélèvements obligatoires sur le travail. Si demain le monopole de l'assurance-maladie est levé la concurrence permettra aux agriculteurs qui ne vont jamais en cure thermale, qui n'achètent jamais 10 paires de lunettes par an qui ne se déplacent que rarement chez le médecin, d'avoir une assurance-maladie beaucoup moins chère que celle qu'on les oblige à payer.
La solution n'est pas tant d'augmenter la productivité de nos agriculteurs qui a déjà été poussée à fond par des décennie de dépenses publiques et d'imposition très élevées car les agriculteurs ont tout fait pour s'adapter, la solution c'est de libérer les agriculteurs d'un certain nombre de prélèvements obligatoires par des mécanismes de marché. Et c'est bien là une question qui concerne toute l'économie française.
Au regard des enjeux des prélèvements obligatoires sur le travail où la France est championne du monde la question des aides européennes est secondaire à la fois en valeur absolue comparée et aussi parce que ces aides sont identiques dans les autres pays de l'UE et même du monde. C'est donc bien l'état providence français qui détruit notre agriculture.

mercredi 9 mars 2016

How Europe is dysfunctioning: the case of HOPE entre-soi

http://www.hope-agora.eu/?page_id=312

http://www.hope.be/index.html

Hope is a non profit organisation of Hospital in Europe. The next meeting in Rome (June 2016) is indeed a meeting which is an example of closed social grouping. When you ask for a submission process of abstract on the topic of the meeting the secretary answered: "No. We organised the meeting by ourselves."
Sure they will not have any transfusion of fresh blood.

SSI and computerised decision making in surgery

http://www.medpagetoday.com/MeetingCoverage/HIMSS/56571?xid=nl_mpt_DHE_2016-03-07&eun=g432148d0r



  • Age
  • Gender
  • Zip code
  • Surgeon identifier
  • Body mass index
  • Estimated blood loss
  • Blood transfusion volume
  • Lowest patient core temperature during surgery
  • Surgical Apgar score (score interval)
  • Hemoglobin level within the prior 60 days (indicating whether the patient was anemic prior to surgery)
  • ASA score (a 5-point system developed by anesthesiologists)
  • CDC wound class


Accelerating regulatory processes saves lives

http://www.fda.gov/NewsEvents/Newsroom/PressAnnouncements/ucm412802.htm

http://www.reuters.com/article/us-health-pharmaceuticals-europe-idUSKCN0W912M

https://www.washingtonpost.com/national/jimmy-carter-says-he-no-longer-needs-cancer-treatment/2016/03/06/44502a7e-e3f2-11e5-bc08-3e03a5b41910_story.html

Kamel Daoud : « Cologne, lieu de fantasmes »

Kamel Daoud : « Cologne, lieu de fantasmes »

source : LE MONDE | 31.01.2016

Par Kamel Daoud (Ecrivain)

Que s’est-il passé à Cologne la nuit de la Saint-Sylvestre ? On peine à le savoir avec exactitude en lisant les comptes rendus, mais on sait – au moins – ce qui s’est passé dans les têtes. Celle des agresseurs, peut-être ; celle des Occidentaux, sûrement.



Fascinant résumé des jeux de fantasmes. Le « fait » en lui-même correspond on ne peut mieux au jeu d’images que l’Occidental se fait de l’« autre », le réfugié-immigré : angélisme, terreur, réactivation des peurs d’invasions barbares anciennes et base du binôme barbare-civilisé. Des immigrés accueillis s’attaquent à « nos » femmes, les agressent et les violent.



Cela correspond à l’idée que la droite et l’extrême droite ont toujours construite dans les discours contre l’accueil des réfugiés. Ces derniers sont assimilés aux agresseurs, même si l’on ne le sait pas encore avec certitude. Les coupables sont-ils des immigrés installés depuis longtemps ? Des réfugiés récents ? Des organisations criminelles ou de simples hooligans ? On n’attendra pas la réponse pour, déjà, délirer avec cohérence. Le « fait » a déjà réactivé le discours sur « doit-on accueillir ou s’enfermer ? » face à la misère du monde. Le fantasme n’a pas attendu les faits.



Le rapport à la femme



Angélisme aussi ? Oui. L’accueil du réfugié, du demandeur d’asile qui fuit l’organisation Etat islamique ou les guerres récentes pèche en Occident par une surdose de naïveté : on voit, dans le réfugié, son statut, pas sa culture ; il est la victime qui recueille la projection de l’Occidental ou son sentiment de devoir humaniste ou de culpabilité. On voit le survivant et on oublie que le réfugié vient d’un piège culturel que résume surtout son rapport à Dieu et à la femme.


En Occident, le réfugié ou l’immigré sauvera son corps mais ne va pas négocier sa culture avec autant de facilité, et cela, on l’oublie avec dédain. Sa culture est ce qui lui reste face au déracinement et au choc des nouvelles terres. Le rapport à la femme, fondamental pour la modernité de l’Occident, lui restera parfois incompréhensible pendant longtemps lorsqu’on parle de l’homme lambda.



Il va donc en négocier les termes par peur, par compromis ou par volonté de garder « sa culture », mais cela changera très, très lentement. Il suffit de rien, du retour du grégaire ou d’un échec affectif pour que cela revienne avec la douleur. Les adoptions collectives ont ceci de naïf qu’elles se limitent à la bureaucratie et se dédouanent par la charité.



Le réfugié est-il donc « sauvage » ? Non. Juste différent, et il ne suffit pas d’accueillir en donnant des papiers et un foyer collectif pour s’acquitter. Il faut offrir l’asile au corps mais aussi convaincre l’âme de changer. L’Autre vient de ce vaste univers douloureux et affreux que sont la misère sexuelle dans le monde arabo-musulman, le rapport malade à la femme, au corps et au désir.



L’accueillir n’est pas le guérir.»



Le rapport à la femme est le nœud gordien, le second dans le monde d’Allah. La femme est niée, refusée, tuée, voilée, enfermée ou possédée. Cela dénote un rapport trouble à l’imaginaire, au désir de vivre, à la création et à la liberté. La femme est le reflet de la vie que l’on ne veut pas admettre. Elle est l’incarnation du désir nécessaire et est donc coupable d’un crime affreux : la vie.



C’est une conviction partagée qui devient très visible chez l’islamiste par exemple. L’islamiste n’aime pas la vie. Pour lui, il s’agit d’une perte de temps avant l’éternité, d’une tentation, d’une fécondation inutile, d’un éloignement de Dieu et du ciel et d’un retard sur le rendez-vous de l’éternité. La vie est le produit d’une désobéissance et cette désobéissance est le produit d’une femme.



L’islamiste en veut à celle qui donne la vie, perpétue l’épreuve et qui l’a éloigné du paradis par un murmure malsain et qui incarne la distance entre lui et Dieu. La femme étant donneuse de vie et la vie étant perte de temps, la femme devient la perte de l’âme. L’islamiste est tout aussi angoissé par la femme parce qu’elle lui rappelle son corps à elle et son corps à lui.



La liberté que le réfugié désire mais n’assume pas



Le corps de la femme est le lieu public de la culture : il appartient à tous, pas à elle. Ecrit il y a quelques années à propos de la femme dans le monde dit arabe : « A qui appartient le corps d’une femme ? A sa nation, sa famille, son mari, son frère aîné, son quartier, les enfants de son quartier, son père et à l’Etat, la rue, ses ancêtres, sa culture nationale, ses interdits. A tous et à tout le monde, sauf à elle-même. Le corps de la femme est le lieu où elle perd sa possession et son identité. Dans son corps, la femme erre en invitée, soumise à la loi qui la possède et la dépossède d’elle-même, gardienne des valeurs des autres que les autres ne veulent pas endosser par [pour] leurs corps à eux. Le corps de la femme est son fardeau qu’elle porte sur son dos. Elle doit y défendre les frontières de tous, sauf les siennes. Elle joue l’honneur de tous, sauf le sien qui n’est pas à elle. Elle l’emporte donc comme un vêtement de tous, qui lui interdit d’être nue parce que cela suppose la mise à nu de l’autre et de son regard. »



Une femme est femme pour tous, sauf pour elle-même. Son corps est un bien vacant pour tous et sa « malvie » à elle seule. Elle erre comme dans un bien d’autrui, un mal à elle seule. Elle ne peut pas y toucher sans se dévoiler, ni l’aimer sans passer par tous les autres de son monde, ni le partager sans l’émietter entre dix mille lois. Quand elle le dénude, elle expose le reste du monde et se retrouve attaquée parce qu’elle a mis à nu le monde et pas sa poitrine. Elle est enjeu, mais sans elle ; sacralité, mais sans respect de sa personne ; honneur pour tous, sauf le sien ; désir de tous, mais sans désir à elle. Le lieu où tous se rencontrent, mais en l’excluant elle. Passage de la vie qui lui interdit sa vie à elle.



C’est cette liberté que le réfugié, l’immigré, veut, désire mais n’assume pas. L’Occident est vu à travers le corps de la femme : la liberté de la femme est vue à travers la catégorie religieuse de la



licence ou de la « vertu ». Le corps de la femme est vu non comme le lieu même de la liberté



essentielle comme valeur en Occident, mais comme une décadence : on veut alors le réduire à la



possession, ou au crime à « voiler ».



La liberté de la femme en Occident n’est pas vue comme la raison de sa suprématie mais comme



un caprice de son culte de la liberté. A Cologne, l’Occident (celui de bonne foi) réagit parce qu’on a



touché à « l’essence » de sa modernité, là où l’agresseur n’a vu qu’un divertissement, un excès



d’une nuit de fête et d’alcool peut-être.



Cologne, lieu des fantasmes donc. Ceux travaillés des extrêmes droites qui crient à l’invasion



barbare et ceux des agresseurs qui veulent le corps nu car c’est un corps « public » qui n’est



propriété de personne. On n’a pas attendu d’identifier les coupables, parce que cela est à peine



important dans les jeux d’images et de clichés. De l’autre côté, on ne comprend pas encore que



l’asile n’est pas seulement avoir des « papiers » mais accepter le contrat social d’une modernité.



Le problème des « valeurs »



Le sexe est la plus grande misère dans le « monde d’Allah ». A tel point qu’il a donné naissance à ce



porno-islamisme dont font discours les prêcheurs islamistes pour recruter leurs « fidèles » :



descriptions d’un paradis plus proche du bordel que de la récompense pour gens pieux, fantasme



des vierges pour les kamikazes, chasse aux corps dans les espaces publics, puritanisme des



dictatures, voile et burka.



L’islamisme est un attentat contre le désir. Et ce désir ira, parfois, exploser en terre d’Occident, là



où la liberté est si insolente. Car « chez nous », il n’a d’issue qu’après la mort et le jugement



dernier. Un sursis qui fabrique du vivant un zombie, ou un kamikaze qui rêve de confondre la mort



et l’orgasme, ou un frustré qui rêve d’aller en Europe pour échapper, dans l’errance, au piège social



de sa lâcheté : je veux connaître une femme mais je refuse que ma sœur connaisse l’amour avec



un homme.



Retour à la question de fond : Cologne est-il le signe qu’il faut fermer les portes ou fermer les



yeux ? Ni l’une ni l’autre solution. Fermer les portes conduira, un jour ou l’autre, à tirer par les



fenêtres, et cela est un crime contre l’humanité.



Mais fermer les yeux sur le long travail d’accueil et d’aide, et ce que cela signifie comme travail sur



soi et sur les autres, est aussi un angélisme qui va tuer. Les réfugiés et les immigrés ne sont pas



réductibles à la minorité d’une délinquance, mais cela pose le problème des « valeurs » à partager,



à imposer, à défendre et à faire comprendre. Cela pose le problème de la responsabilité après



l’accueil et qu’il faut assumer.








Kamel Daoud est un écrivain algérien. Il est notamment l’auteur de Meursault, contre-enquête (Actes Sud, 2014),

Prix Goncourt du premier roman. Il est également chroniqueur au Quotidien d’Oran. Cet article a d’abord été publié en Italie dans le quotidien La Repubblica

Where is the present truth?

Is estrogen “the female hormone”?

“…Similarly, in many animal species, the so-called ‘estrogens’ do not in themselves cause estrus or heat without simultaneous progesterone treatment, hence the later hormone could be called “estrogenic” with almost equal justification. Furthermore, estrogens interrupt the estrous cycle in the intact rodent so that they are actually ‘anti-estrogenic’ under ordinary circumstances of bioassay.”[1]

“…it seemed reasonable to conclude that testosterone interacts with androgen receptors in the brain to bring about defeminization. However, the concept had to be revised when it was found that estrogens mimic testosterone, whereas DHT does not. It was soon revealed that estrogen receptors begin to appear in the hypothalamus around the time of birth, and that they increase in numbers during the first few postnatal days. Moreover, neurons involved in defeminization contain aromatase enzymes that convert testosterone (but not DHT) to estrogen. The conclusion that estrogens are the defeminizing agents is supported by several findings.”[2]

“Injection of estrogens into fowl eggs during the period of incubation leads to the development of intersexual males, whose reactions may vary between perfect masculine behavior.”[3]

“In conclusion, these data provide evidence that estrogen is at least one factor that influences adrenal androgen sensitivity in polycystic ovarian syndrome and may help explain the frequent finding of adrenal hyperandrogenism [masculinization] in this syndrome.”[4]

“In recent years, it has been found to be responsible even for neonatal masculinization and the masculinization of the polycystic ovary syndrome. Although the pharmaceutical industry has often referred to it as ‘the female hormone,’ I don’t know of any competent scientist who has ever called it that.”[5]

1. The Textbook of Endocrinology by Hans Selye (1947)
2. Endocrine Physiology by Constance R. Martin (1985)
3. The Textbook of Endocrinology by Hans Selye (1947)
4. The impact of estrogen on adrenal androgen sensitivity and secretion in polycystic ovary syndrome (1995)
5. Not the “female hormone,” but the shock hormone by Raymond Peat (2007)

Endovascular interventions are disruptive



Annals of Surgery:


Post Author Corrections: February 22, 2016


doi: 10.1097/SLA.0000000000001676


Endovascular Versus Open Revascularization for Peripheral Arterial Disease.
Wiseman, Jason T. MD, MSPH; Fernandes-Taylor, Sara PhD; Saha, Sandeep MS; Havlena, Jeffrey MS; Rathouz, Paul J. PhD; Smith, Maureen A. MD, PhD; Kent, K. Craig MD


Supplemental Author Material


Published Ahead-of-Print





Abstract



Objective: The aim of this study was to determine whether endovascular or open revascularization provides an advantageous approach to symptomatic peripheral arterial disease (PAD) over the longer term.


Summary of Background Data: The optimal revascularization strategy for symptomatic lower extremity PAD is not established.


Methods: We evaluated amputation-free survival, overall survival, and relative rate of subsequent vascular intervention after endovascular or open lower extremity revascularization for propensity-score matched cohorts of Medicare beneficiaries with PAD from 2006 through 2009.


Results: Among 14,685 eligible patients, 5928 endovascular and 5928 open revascularization patients were included in matched analysis. Patients undergoing endovascular repair had improved amputation-free survival compared with open repair at 30 days (7.4 vs 8.9%, P = 0.002). This benefit persisted over the long term: At 4 years, 49% of endovascular patients had died or received major amputation compared with 54% of open patients (P < 0.001). An endovascular procedure was associated with a risk-adjusted 16% decreased risk of amputation or death compared with open over the study period (hazard ratio: 0.84; 95% confidence interval, 0.79-0.89; P < 0.001). The amputation-free survival benefit associated with an endovascular revascularization was more pronounced in patients with congestive heart failure or ischemic heart disease than in those without (P = 0.021 for interaction term). The rate of subsequent intervention at 30 days was 7.4% greater for the endovascular vs the open revascularization cohort. At 4 years, this difference remained stable at 8.6%.


Conclusions: Using population-based data, we demonstrate that an endovascular approach is associated with improved amputation-free survival over the long term with only a modest relative increased risk of subsequent intervention.


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