P4P is not inflationist: a lesson for France's healthcare system?

http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/1475-6773.12003/pdf

10 cm de neige et le pays s'arrête...

Alors que 400 "élus" d'un pays en faillite vont tous frais payés se rendrent à Berlin pour célébrer l'amitié franco-allemande la neige a stoppé les monopole publics et privés et empêché les valeureux travailleurs et consommateurs de produire et dépenser en France.

Ces travailleurs et consommateurs qui portent l'économie à bout de bras n'avaient plus de taxis à Paris (monopole privé) plus de bus (monopole d'état) plus d'avion (monopole privé-public d'Air France)...
Ainsi des avions canadiens comme les Bombardier de la flotte d'AF étaient au sol alors qu'en amérique du nord ces conditions climatiques sont jugées normales...
Causes?
Hum c'est toujours très compliqué.
L'intervention étatique est le premier facteur. L'état omniscient craignant une situation de blocage des aéroports a commencé par dissuader les gens de voyager. Un peu comme si les canadiens ou les new yorkais se cloitraient chez eux dès novembre jusqu'en mai...
Vient en suivant l'amplitude du travail ou plutôt de la présence.
Les équipages n'ont pas assez dormi... On annule.
Ensuite le surbooking, les passagers en correspondance sont placés d'office sur l'avion de leurs correspondances alors même qu'il n'y a pas de place.

Il neige tout est prévu sauf cela...

Bref, AF la RATP et d'autres monopoles comme les taxis devraient s'entrainer à fonctionner en temps de crise au lieu de réfléchir au temps de travail et autres menus avantages...
Un dernier mot sur nos chers taxis.
Plus de 20% sont restés à la maison pour ne pas salir la voiture.
Hier le prix des courses a suivi la loi du marché. Offre réduite demande en explosion. 100 euro pour aller à Orly qui dit mieux?
Mais bien sur pas question de faire marcher l'offre et la demande pour le business des taxis!

Imaginons que le nombre des boulangeries soit fixé par l'état.

Le pain les fonds de commerce et les croissants vaudraient une fortune.
L'économie soviétique c'était hier et c'est toujours aujoud'hui.
Ce sera aussi demain jusqu'à la faillite d'un état faible et suicidaire qui bombe le torse en Afrique alors que le pays est en déroute à l'intérieur.