vendredi 11 janvier 2013

Je voudrais ce que l'autre possède sans perdre quoi que ce soit, mon envie me rend jaloux qui suis je?

L'envie est particulièrement française elle est cousine de la jalousie! Le clientélisme socialiste les flatte.


"Le règne de l'envie
Par

Chantal Delsol   


C'est un vice d'aujourd'hui mais plutôt de toujours, la différence étant qu'aujourd'hui on ne considère plus cela comme un vice : l'envie. Les réactions actuelles devant l'exil fiscal ressortent à cette éternelle question de l'envie.

Dans les dix commandements, l'envie se trouve en ligne de mire : tu ne convoiteras ni la maison, ni la femme, ni aucun bien de ton prochain. L'envie apparaît comme l'un des tout premiers vices, avec l'orgueil, ce roi des vices. Dans l'histoire originelle de notre culture, l'Ancien Testament, les crimes et meurtres inauguraux sont imputables à l'envie. Laquelle a été décrite et analysée avec talent chez les modernes comme Nietzsche et Scheler, sous le nom de ressentiment. Mais n'a peut-être jamais été aussi bien comprise que par Basile de Césarée, dans l'une de ses homélies. Pourquoi, demande-t-il, est-ce une maladie terrible ? Parce qu'on ne peut la déclarer. L'envieux est malade à crever, mais si on lui demande ce qui ne va pas, jamais il n'oserait dire : « Le bonheur de mon ami m'afflige ; je m'attriste de la joie de mon frère ; je ne puis souffrir le spectacle de la prospérité d'autrui ; la bonne fortune de mon prochain fait mon infortune. » Que l'envie ne soit pour ainsi dire pas avouable (et nous le constatons tous les jours) la donne bien pour un vice grave, puisque cela signifie qu'il faudrait trop de cynisme pour le légitimer.

Cependant les modernes ont inventé ce qu'il faut pour transformer l'envie en vertu : l'idéologie égalitaire. Celle-ci se déploie dans le communisme et le socialisme, mais pas seulement : en France, dans le républicanisme qui, tout récemment, s'est substitué au socialisme en échec.

L'exil fiscal n'a rien de bien patriote. Accepte-t-on le château sans les dettes ? La culture (et surtout la culture française, l'histoire française) est un château magnifique sans lequel nous ne serions rien. Mais celui qui réussit doit porter comme une lourde dette la mentalité de nos compatriotes, si souvent aigris, pleurnichards et victimaires, qui, comme disait mon ami Georges-Henri Soutou, n'ont jamais digéré que la France manque en 1947 l'occasion de devenir une démocratie populaireŠ Et pourquoi ? parce que les Français ont la passion de l'égalité comme peut-être aucun autre peuple. L'envie les accompagne en permanence. Ils détestent les riches par principe. Et l'exil fiscal fait sortir de ses gonds même un premier ministre apparemment courtois : on ne peut qu'injurier le riche, quand on est français. C'est pourquoi, avant même de regarder les exilés fiscaux, on est saisi de dégoût devant la convoitise et le ressentiment qui s'étalent en première page devant la fortune de Depardieu et autres.

Le socialisme, sous tous ses aspects multiformes, transforme la justice en égalité, rendant ainsi l'envie vertueuse, puisque le plus chanceux que soi devient instantanément un méchant et le regard sur lui, une indignation devant le mal, donc un acte moral. Le désir d'égalité commence par les revendications les plus élémentaires et les plus légitimes : celles de l'égalité des conditions - et l'on va s'attacher à procurer à tous les mêmes chances de s'élever et de réussir. À ce stade, ce n'est pas du socialisme encore, seulement du christianisme, si l'on veut. Le socialisme commence plus loin : quand on commence à penser que ce ne sont pas les chances qu'il faut égaliser, mais les résultats ; ou pour reprendre l'expression de l'économiste Léon Walras, non pas seulement les conditions, mais les positions. Les deux aspects diffèrent entièrement. Avec le socialisme, on se prend à vouloir égaliser aussi tout ce qui ressort au mérite, au travail, à la persévérance. Ce qui signifie ceci : toute inégalité est injuste et aucune n'est légitime. C'est le règne universel de l'envie ; chacun convoite et soupire après tous les biens de l'autre, quelle que soit la manière dont les biens sont acquis. Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Puisqu'il faut égaliser les chances au départ et aussi les résultats du travail à l'arrivée, allons au bout : toute différence, biologique, de nature, de destin, devient injuste. Le mot discrimination, qui signifie une différenciation injuste, en vient à traduire toute différenciation, parce que toute différence devient injuste. La Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l'égalité (Halde) manifestait le caractère caricatural et aberrant de cette idéologie toute républicaine. Il est injuste que les homosexuels ne puissent pas avoir d'enfants ensemble, et injuste qu'une per sonne handicapée ne puisse accéder à toutes les capacités d'un bien portant. Alors l'envie se multiplie mais change encore de visage : on voudrait posséder ce que l'autre possède, certes, mais plus encore, on voudrait être l'autre C'est là tout le malheur condensé, et c'est pourquoi nos compatriotes sont malheureux.

La perpétuelle et exponentielle revendication d'égalité ronge l'esprit français. La pire conséquence de l'envie, à mon sens, est que l'envieux ne sait pas admirer. Il ne peut admirer une belle réussite, il ne peut admirer une oeuvre éclatante. L'estime de soi ne provient jamais du dénigrement, mais de la capacité de s'inspirer. L'envie nous racornit et nous réduit - nous ne grandissons que d'admiration."

L'HAS fixe la frontière de la solidarité nationale à 0,2% d'accidents!

Dans ce pays la pensée soviétique  a encore de très beaux jours à vivre avant la chute du mur invisible. Voilà que sur injonction de l'état qui souhaite financer la pilule pour tous entre 15 et 18 ans l'HAS péremptoire fixe un seuil d'accidents au delà duquel la "solidarité" entendez l'argent des payeurs de taxe, ne doit plus être dépensé. Que les femmes qui supportent bien les pilules 3G sortent l'argent de leur porte monnaie... C'est pour la bonne cause vous dis je!



"Compte tenu des données scientifiques disponibles et au regard de l’existence d’alternatives (les C1G et C2G), le service médical rendu par les contraceptifs oraux estroprogestatifs dits de troisième génération est insuffisant pour leur prise en charge par la solidarité nationale."

http://www.has-sante.fr/portail/upload/docs/application/pdf/2012-12/contraceptis_oraux_3_g_fiche_bum.pdf

Le psychodrame sécu à propos des génériques

En France la sécurité sociale et sa branche assurance maladie sont en déficit structurel depuis de nombreuses années. 

Pourtant le mot économie est imprononçable car le PS et l'UMP aiment, adorent la dépense publique et les prélèvements obligatoires. Ces derniers sont astronomiques et plombent notre économie privant de croissance une génération de jeunes français. Parce que l'administration syndicale de la sécu est un non sens en terme de capacité à gérer.

Ces prélèvements et la dette nourrissent un état providence obèse et gaspilleur.

Parmi les dépenses sociales, les dépenses d'assurance maladie sont excessives.
Transports indemnités journalières dérivent sans aucune action réelle de cost containment et donc au détriment des soins et des patients malades.
Tout cela pour faire plaisir et recueillir les voix de consommateurs de transports d'indemnités journalières et de soins inutiles.

Le cas des médicaments génériques est particulièrement démonstratif.

En France de nombreux citoyens sont persuadés que les génériques ne sont pas de bons médicaments. Dans le même temps la gauche et le centre droit ne cesse de vitupérer contre les labos accusés de faire du fric.

Voyons comment notre sécu offre une rente ...

Tout d'abord la question essentielle n'est pas le tarif des médicaments.
Le problème essentiel des français c'est leur consommation effrénée de médicaments de toutes sortes...
La gratuité est un puissant facteur de gaspillage s'agissant de médicaments à l'utilité nulle ou incertaine. Le volume de la dépense est là.

Ensuite la question des génériques est bien sur importante.


La sécu déclare beaucoup d'intentions mais persiste à avoir des résultats très médiocres. Qu'on en juge sur ce tableau ci dessous...
Le résultat est clair, les faits sont terriblement têtus.
Pourtant les génériques sont des médicaments moins chers et tout aussi efficaces.

Propositions de bon sens:


  1. La sécu devrait simplement ne rembourser que le tarif du médicament le moins cher.
  2. La mention non substituable ne devrait pas engager de dépense supplémentaires.
  3. La dénomination commune internationale DCI devrait être la règle des prescriptions ce qui éviterait de nombreuse erreurs et doublons et permettrait aux patients de comprendre que c'est la molécule chimique qui est le médicament pas le packaging ou le nom de marque...


A ce stade d’inefficacité il faudra la faillite pour ramener les esprits au rationalisme.


Le Quotidien du médecin et l'information médicale sur la pilule: un biais manifeste

Key Points

  • A number of studies suggest that current use of oral contraceptives (birth control pills) appears to slightly increase the risk of breast cancer, especially among younger women. However, the risk level goes back to normal 10 years or more after discontinuing oral contraceptive use.
  • Women who use oral contraceptives have reduced risks of ovarian and endometrial cancer. This protective effect increases with the length of time oral contraceptives are used.
  • Oral contraceptive use is associated with an increased risk of cervical cancer; however, this increased risk may be because sexually active women have a higher risk of becoming infected with human papillomavirus, which causes virtually all cervical cancers.
  • Women who take oral contraceptives have an increased risk of benign liver tumors, but the relationship between oral contraceptive use and malignant liver tumors is less clear.
Voilà ce qu'écrit le NCI dans une mise au point du 21/03/2012:

http://www.cancer.gov/cancertopics/factsheet/Risk/oral-contraceptives

Mais le NCI n'est pas le seul:

"Médecine

Pilule et cancer : liaison dangereuse

Le Centre international de recherche sur le cancer, vient de classer la pilule contraceptive parmi les produits cancérogènes.DR
Le Centre international de recherche sur le cancer, vient de classer la pilule contraceptive parmi les produits cancérogènes.
DR
Pour la première fois, le risque est officiellement reconnu. Le CIRC (Centre international de recherche sur le cancer), dépendant de l’OMS, vient de classer la pilule contraceptive parmi les produits cancérogènes du «groupe 1», ceux dont l’action est «certaine». Une donnée à prendre désormais en compte, sans oublier pour autant les autres causes des cancers, connues, et méconnues.
Certains médecins et cancérologues le disaient depuis longtemps, l’OMS vient de rendre publiques les conclusions d’un groupe de 21 chercheurs venus de 8 pays « après un examen complet de la littérature scientifique publiée» : la pilule « diminue le risque de cancer de l’endomètre et de l’ovaire », mais elle « augmente celui du cancer du sein, du col utérin et du foie ». Globalement, et surtout en Occident, tous ces cancers sont en augmentation. En Europe, celui du sein est de loin le plus fréquent, avec 27,4% de tous les cas, et c’est le tueur numéro un avec presque 130 000 décès par an. Il frappe des femmes de plus en plus jeunes. Les chiffres sont comparables aux Etats-Unis : en trente ans, ce cancer a augmenté de 130% - contre 27% pour les cancers non hormono-dépendants.
Dans le monde, plus de 100 millions de femmes prennent la pilule, soit près de 10% de celles en âge de procréer (en moyenne : 16% dans les pays développés, 6% dans les pays en développement). Et l’usage de ces oestro-progestatifs de synthèse (le plus souvent sous forme de pilule, mais aussi de patch, anneau vaginal ou injection) est en hausse. L’augmentation du risque est qualifiée par le Circ de « légère » pour le cancer du sein ; des études ont montré que l’utilisation de cette forme de contraception accroît la prolifération des cellules epithéliales du sein. Celle du cancer du col « augmente avec la durée d’utilisation » : cela est d’autant plus problématique dans le Tiers monde, où ce cancer lié le plus souvent du Papillomavirus est fréquent, et où le dépistage n’est pas systématique. Quant au risque accru de cancer du foie, il avait été rendu public par le Circ dès 1999.
Des tissus surexposés aux hormonesPourquoi la prise d’hormones de synthèse augmente-t-elle les risques ? D’abord, parce que les tissus-cibles, c’est-à-dire les cellules qui possèdent des récepteurs à ces hormones, dans le sein par exemple, y sont exposées pendant trois semaines sur quatre chaque mois, au lieu de dix à quatorze jours pour la progestérone sécrétée naturellement par l’ovaire. Mais aussi parce que leur concentration est beaucoup plus forte que celle des hormones naturelles. Le risque est d’autant plus grand que la prise est précoce, dès l’adolescence, et qu’elle s’étale sur des décennies. Ce n’est pas tout. Ce qui rend probablement la situation d’autant plus grave, c’est que les tissus « hormono-sensibles » (sein, ovaire, prostate, etc.) des êtres vivants sont, dans le monde moderne, soumis à des stimulations dangereuses et cumulées : des scientifiques nous alertent depuis un bon quart de siècle sur les pesticides, par exemple, ainsi que sur de nombreux autres dérivés chimiques qui, une fois dans le corps humain, se comportent comme des hormones. Ils ont appelé ces substances les « xéno-oestrogènes ».
Le Pr Samuel Epstein, aux Etats-Unis, met de plus l’accent sur un troisième facteur important de risque : les hormones de croissance administrées aux animaux d’élevage industriel, ingérées ensuite par les humains sous forme de viande ou de produits laitiers – dont la consommation a explosé au cours des dernières décennies. Les cancers du sein, de la prostate mais aussi du colon (en forte augmentation également) pourraient être ainsi induits et aggravés.
Tous les risques se cumulentD’autres facteurs de risque viennent encore s’ajouter aux précédents : ces cancers sont plus fréquents, on l’a constaté, chez les personnes en surpoids – et moins fréquents chez les anorexiques. Selon l’European Cancer Prevention, « l’obésité n’est pas une simple accumulation de tissu adipeux. Elle implique des aspects endocriniens et induit une augmentation du risque de cancer de l’endomètre, du sein et du colon ». Les cancers du sein sont aussi plus fréquents chez les fumeuses, près des centrales nucléaires et chez des femmes ayant subi de nombreuses mammographies…
Pour en revenir à la pilule, le Dr Elen Grant, qui avait contribué en Grande-Bretagne au développement des contraceptifs chimiques au début des années 60, a par la suite écrit un livre intitulé Amère pilule pour en dénoncer les dangers (accident vasculaire, surcharge hépatique entre autres). Dans la préface de l’édition française, le Pr Lucien Israël, célèbre cancérologue français, notait : « Les deux mérites essentiels de ce livre sont à mes yeux de souligner les dangers réels de la pilule, et d’autre part de montrer, indirectement, que le bouleversement des équilibres naturels comporte toujours obligatoirement un prix à payer… » D’autres cancérologues comme les Pr Joyeux ou Belpomme lui font écho aujourd’hui. Ce danger, on l’a vu à propos du traitement hormonal de la ménopause – dont le Circ souligne également le danger - est minimisé par les gynécologues. « Chaque femme qui utilise ces produits, conseille le Circ, devrait en discuter les risques et les bénéfices globaux avec son médecin ». Oui, mais lequel ?
par Henriette SARRASECA
Article publié le 07/08/2005 Dernière mise à jour le 08/08/2005 à 09:31 TU3"

Le QM lui interviewe un médecin qui a une opinion différente et très tranchée. Sans références bibliographiques.

"N’a-t-il jamais été question de risque de cancer ?
Non, on n’a jamais évoqué de risque de cancer du sein sous pilule quelle que soit la génération, à l’inverse, il est prouvé que le risque de cancer de l’ovaire est moindre. Nous avons aussi des arguments en faveur d’une diminution du risque de cancer du côlon."

Il eut été équilibré de mentionner l'avis du NCI: il y a bien un surrisque de cancer du sein, du col et de tumeurs bénignes du foie sous pilule...
Et d'ajouter que ce surrisque faible est une moyenne. C'est à dire que chez les femmes qui ont par ailleurs d'importants facteurs de risque de cancer du sein ces risques se cumulent. Cela se nomme médecine personnalisée.

Battre monnaie? Non bien sur! Effondrer le dollar. The fake trillion dollars coin.

Read this paper. If it is true we will see a dollar collapse within years. A slow FED controlled collapse which will generate a huge shrinking in bond value and a driop in revenues from commodities.
What dou you think about that?










http://www.atlantico.fr/decryptage/etats-unis-ont-trouve-solution-miracle-contre-dette-emission-piece-en-platine-1000-milliards-dollars-pierre-maxime-598782.html?page=0,1

Vous avez dit "protection sociale"?

La complémentaire pour tous est une nouvelle ponction obligatoire sur le dos des salariés.
Le MEDEF et les syndicats s'entendent sur le dos des payeurs de charges sociales.
1/ il n'y a pas de charges patronales! Cette valeur ajoutée est produite par l'entreprise et donc ses salariés. Le salairee brut appartient au salarié.
2/ les syndicats en conflit d'intérêt puisqu'ils administrent la sécu ont des objectifs de pouvoir (plus les dépenses de "soins" y compris IJ et transports et cures thermales augmentent plus leur pouvoir augmente) et d'idéologie marxiste (CMU, RSA, AME) ce qui revient à redistrivbuer d'abord à CEUX QUI NE COTISENT PAS. Donc bien évidemment il faut faire payer les déjà cotisants via le non pris en chage par la sécu qui s'épuise avec ses hôpitaux non gérés et ses dépenses inappropriées.
3/ Le MEDEF est TRES CONTENT CAR LES ASSUREURS PRIVES FONT DANS CE SYSTEME CONNIVENT DES MARGES ENORMES PUISQUE LES TARIFS SONT CEUX DES MUTUELLES AVEC UNE GESTION RIGOUREUSE. Un jack pot pour les Mederic et autres. Dans ces conditions d'oligopole les clients de ces assureurs paient très cher des services et des biens médicaux non indispensables et l'assurance complémentaire des CMU istes ne l'oublions pas.
Je n'hésite pas à le dire c'est une arnaque des syndicats et du MEDEF, et c'est le socialisme no limit de Hollande.

mardi 8 janvier 2013

Obama nomme Hagel à la Défense

Hum peu d'échos en France. On craint la comparaison.
Hollande fait en effet la politique la plus clivante, la plus sectaire et la plus communautariste que l'on ait vu depuis 1945.
Son gouvernement est une équipe de bénis oui oui dont la fulgurance intellectuelle est certainement surestimée.
Bref Obama est un stratège et Hollande un calculateur chef de parti.
Son seul soutien réel est le noyau de ministres laïcards du GO.

Le début de la mondialisation des taxes

La mondialisation ne fait que commencer.
En effet les disparités de taxes sont proprement insoutenables à court terme surtout entre pays développés.
Seule l'assymétrie d'information et la peur de la mobilité maintiennnet pour certains états les rentes fiscales.
Ceci est bien illustré par ces données.


http://www.keepeek.com/Digital-Asset-Management/oecd/taxation/taxing-wages-2011/income-tax-plus-employee-and-employer-social-security-contributions_tax_wages-2011-table2-en


lundi 7 janvier 2013

Prélèvements obligatoires sur le travail: énorme place de la redistribution sociale

La catégorie cotisation pour d'autres avantages sociaux dont le bien fondé est extrêmement élastique représentait plus que la cotisation d'assurance maladie en 2005!
Cotisation Retraites: 22,35% du salaire brut
Autres avantages: 19,64%
Assurance maladie 13,85%
Le salarié et l'entreprise sont volés dans cette affaire. Un effet d'éviction de l'investissement et de la consommation s'ensuit.
CQFD

La dépense sociale française est insoutenable

D'abord en volume, car elle dépasse les possibilités économiques du pays.
Ensuite parce qu'elle repose sur les finances publiques c'est à dire sur de la dette.
Factuellement la majorité actuelle a tort et la précédente aussi.

dimanche 6 janvier 2013

Vous avez dit laïcité?

Le clientélisme démocratique est la référence des politiques. Une minorité soudée et votant est beaucoup plus influente qu'une majorité diverse et rechignant à mettre un nom dans l'urne. Tout ceci est très bien maîtrisé par les politiques professionnels car leurs promesses sont financées avec la dette.
Mais ce clientélisme est entre autres le cheval de Troie des islamistes qui veulent à tout prix instaurer d'abord partiellement puis totalement un état religieux totalitaire.
Ce qui apparaissait il y a quelques décennies comme une pure spéculation est devenu un objectif à portée de main avec la compromission et l'argent public distribués par les élus de la république.


http://www.europe-israel.org/2013/01/lettre-dun-avocat-de-metz-la-democratie-contre-les-francais/

Ces Maires qui courtisent l'Islamism...